Première lune

Voilà j'ouvre la section, le post, tout, j'ai même fait le ménage dans l'ancienne section... Mais comme c'est une découverte pour toi, je te laisse ouvrir le bal, non? Tu préfères que je commence?

Bon aller, je me lance pour le premier exercice. Ca va pas être terrible mais bon, si je me lance pas, je le ferai jamais.

Citation :

A présent que vous êtes déconnecté de votre vie matérielle, faites le point sur votre
enseignement spirituel. Demandez-vous ce que vous avez vécu déjà, les choix plus ou
moins clairs que vous avez faits, les désillusions ou les joies que cela vous a apportées.
Ensuite repensez à ce que vous avez lu dans ce cours, essayez de sentir en vous si cela
fait écho avec vos aspirations, est-ce que cela vous laisse une petite boule dans
l’estomac ou sentez-vous d’un coup une porte s’ouvrir ? Peut-être avec vous déjà eu
des impressions en lisant…
Notez vos impressions dans votre journal de route (voir chapitre suivant).

En définitive, en y repensant, je trouve que j'ai eu une vie bien remplie jusqu'à maintenant niveau spirituelle.
Les voix qui me guident, les ombres que je vois dans ma maison, les messages des morts pendant mon sommeil. D'un coté, ça me fait du bien parce que ça me donne l'impression d'avoir quelque chose de spécial (égo quand tu nous tiens!) et d'un autre coté, ça fait un peu peur, parce que ce n'est pas commun, peu de personnes en parlent et du coup, je me sens un peu à part.
Pour le moment, j'ai eu des joies, bien sûr parce que j'ai eu la chance de voir des choses qui m'ont permises - enfin j'espère ne pas me tromper- de voir au-delà de ce qu'on peut voir en premier lieu. Mais d'un autre coté, il y a des désillusions, surtout quand on est dans la "grande phase mystique" et que, d'un coup, on ne ressent plus rien, on se sent un peu abandonné...

Pour la boule à l'estomac en lisant le cours, j'en ai eu une en lisant ce qu'est une prêtresse. Ça fait vraiment échos à ce que je crois et c'est encore plus vrai quand je lis ce que certaines "prêtresses" disent et font.
J'ai l'impression que beaucoup voient ce titre comme une consécration, comme une finalité en soi. Comme si, le fait d'avoir ce titre faisait d'elles des personnes à part, supérieures aux autres païens lambdas. Pour moi, c'est une erreur. Être prêtresse n'est pas vraiment un titre enviable parce que ça appelle à faire beaucoup de travail sur soi: ça veut dire atteindre une certaine perfection dans ses dires, ses actes, chose qui, selon moi, ne se fait pas en quelques jours mais sur une période de plusieurs années.
Et puis, être prêtresse est une voie de servitude. On sert les Dieux, certes, mais on sert aussi les autres. Contrairement à ce que je comprends à travers les écrits de certaines, je pense qu'on ne s'engage pas dans cette voie pour se valoriser. On n'est pas valorisé et on ne se le doit pas. C'est une chose bien trop important pour s'y engager seulement pour avoir une reconnaissance. On le fait pour soi parce qu'on s'en sent capable, parce qu'on veut aider les autres pour leur bien à eux, parce qu'on y est appeler surtout.
C'est une voie emplie de doutes, de questionnements, d'incertitudes, de peur de mal faire et de désillusions parce que nature humaine nous poussent à croire qu'on est exceptionnel, qu'on est surhumain et en définitive, on doit se rendre compte au bout d'un moment qu'on est des serviteurs et pas des maitres.

Euh bon... ben... voilà. Ouais, bon, c'est pas terrible mais j'en suis là pour le moment.

Si ça eut te rassurer, je pense que si peu soit-il, du est sur la bonne voie dès le départ. Tu as les réflexions que j'ai depuis ma "claque" de mon premier mémoire. Partie comme tu es, tu ne feras pas les mêmes erreurs que moi, et tu sauras partir sur de bonnes bases je pense.

Tu trouves ça pas terrible et peu, mais la qualité de tes réflexions est là je trouve. Et Morgane te dirait pareil vu ce qu'elle m'avait dit quand j'avais parlé de mes propres doutes (ces doutes que nous partageons toutes les deux sur le statu de prêtresse, le net païen, etc).

Ah ben merci Do Et puis, faut dire que le cours arrive en même temps que ma phase "crise existentielle"

C'est bon signe ! ^^
Bon moi j'ai eu une petite réflexion(pavé mais c'est mon côté littéraire) sur mon chemin en trois ans de cours chez Morgane plutôt, et sur la prêtrise, que voici: (t'es pas obligé de tout lire auj )


Deux pas en avant, un pas en arrière ! Voilà comme je pourrais définir ma progression entre le premier mémoire et le troisième. Ma première année fut catastrophique. Je suis partie dans le rêve, dans le lyrisme, dans les visualisations. Je suis passée de niveau 0 à 0. Morgane m’a mis en face de mes erreurs, de moi-même, et m’a renvoyé au boulot avec un bon coup de pied aux fesses. Ce fut dur ; mais l’année qui en est ressortie a été très bénéfique. J’ai su trouver ma voie. Je me suis fortement remise en question, j’ai su retrouver l’humilité, me poser les bonnes questions. J’ai appris à sentir avec mon ventre. J’ai eu des expériences à la fois fortes, qui ont su me dire que j’étais sur la bonne voie, et à la fois insuffisante au regard du niveau que je dois atteindre pour me tourner vers les autres. J’ai longuement réfléchi sur moi-même, sur mes prétentions, mes idéaux, mes chimères et mes illusions aussi. A la fin de cette seconde année j’ai présenté, non pas réellement un mémoire mais un compte-rendu, sachant très bien que je n’étais pas prête et que je resterais au premier niveau. Et la réponse de Morgane a été comme un passage au second niveau, j’avais fait deux pas en avant ! C’était une réponse positive ; j’étais sur le bon chemin, sur la bonne voie, j’avais progressé, et j’avais su repartir de zéro, j’avais trouvé le début de mon chemin. Continuant sur ma lancer, les expériences se sont approfondies, j’ai progressé encore. Mais le vide au bord duquel je me trouvais, s’est lui aussi approfondi. Je suis rentré en plein dedans. J’en suis ressortie plus sereine, plus sûre de moi, de mes compétences grandissantes…. Trop peut-être ! Toute l’humilité gagnée l’année passée, toutes les remises en questions, tous les questionnements sains que j’avais eus, le moteur de mes progrès et de mon chemin est parti en fumée. L’égo est revenu plus implacable que jamais, vu que cette fois, il avait une base sur laquelle s’appuyait, j’avais eu les compliments de Morgane ! Et Morgane l’a bien remarqué, me l’a bien fait remarqué ; hop ! Elle m’a à nouveau renvoyé à mon travail. Pas avec un coup de pied aux fesses cette fois (j’ai quand même progressé dans certains domaines), mais au moins une claque derrière la tête ! Cependant, j’ai la chance qu’à chaque mémoire, à chaque progrès, non contente de recommencer simplement les lunes à zéro, Morgane me donne d’autres exercices, d’autres idées à travailler, pour approfondir les sujets et continuer ce premier niveau sans non plus avoir l’impression de stagner. Avec le recul, je me dis que ce passage à vide, que je pensais avoir traversé avec humilité et dont j’allais ressortir forcément plus compétente, et plus forte, presque initiée, illuminée, n’a été qu’une illusion ; une de plus. Oui des choses en sont ressorties, oui ce fut une expérience, mais en fait ce n’était pas l’expérience que je croyais. Peut-être que ça devait, que c’était bien un test, mais que j’ai échoué à cause de mon égo. Oui il fallait que je lâche prise et que je m’abandonne. Mais je ne devais rien attendre en retour ; or j’étais persuadée qu’une fois sortie de cette épreuve, j’aurais atteint une étape, un niveau, une compréhension différente des choses, que je serais au-dessus de la masse. C’est là mon problème ; je veux une reconnaissance, je veux être au-dessus des autres. C’est ce qui m’avait guidé en premier vers les cours de Morgane, et m’a fait me perdre la première année, c’est ce que je ne comprenais plus la deuxième année (lorsque je disais « quand je suis venue, qu’est-ce que je recherchais vraiment ? »), et c’est ce qui m’a remise dans l’erreur cette troisième année. Je dois donc attaquer cette nouvelle et quatrième année avec le même état d’esprit que la deuxième année, en me fiant à mes ressentis et mes expériences spirituelles acquises la troisième année, et en travaillant les œuvres de Steiner que Morgane m’a conseillé.

Ma vision de la prêtresse :
Encore une fois je ne suis plus très sûre de rien. A vrai dire, je n’arrête pas de penser aux prêtresses de Marion Zimmer Bradley ; que ce soit Morgane, Viviane, ou Elane. Quand j’essaye de penser à une vision plus « normale » et « quotidienne », je pense à Morgane, ou Hédéra (même si la connais moins, elle et son travail de prêtresse). Je vois Morgane comme une personne sage, et toujours avisée, qui, même si elle fait encore des erreurs, en fait beaucoup moins que les autres, qui a conscience de sa place dans la vie et dans l’univers, dévouée aux dieux et aux autres, même quand ils la malmènent, une personne qui accepte son destin et fait son devoir. Une femme en accord avec elle-même, son identité, sa personnalité, avec une éthique de vie quasi irréprochable, saine, exemplaire presque, en accord avec son corps, son âme, son environnement. Mais dans ce cas-là, je ne suis effectivement plus sûre de vouloir être prêtresse. Quand je vois le travail de Morgane, toujours sollicitée par tout le monde, et en même temps décriée, critiquée dès qu’elle dit quelque chose qui ne plaît pas. Quand je vois encore les modifications apportées aux lunes, je me dis que décidément elle a encore du avoir de sacré mémoire, de gens présomptueux (je l’étais aussi mais j’ai réussi à me remettre en question, je n’ai pas campé sur mes positions aussi difficile que soit la critique à recevoir), qui ne supportent pas la critique, qui n’acceptent pas qu’on est une opinion différente, qui sont à la fois en demande presque addictive des cours et conseils de Morgane, mais qui en même n’en supporte pas les contraintes, et les remarques. Je ne suis pas sûre de supporter tout ça si moi-même je devenais prêtresse. Mais peut-être est-ce justement parce que je n’ai pas encore le niveau de travail. Peut-être qu’une fois la première partie de ma formation achevée je serais en mesure de le supporter. Ou pas ; aller savoir. Je ne suis peut-être pas faite pour être prêtresse, juste une païenne au service des dieux.

Encore une fois, je vois qu'on est sur la même longueur d'ondes!! J'aime beaucoup ce que tu écris!!

Pour le fait de devenir prêtresse, je me dis que finalement, le mieux est peut-être de ne pas l'être (je suis limite bornée sur ce point) parce que je trouve qu'avoir ce titre ne fait pas de la personne quelqu'un de mieux: ça nous amène à nous la "péter" et à perdre de vue ce qu'on est et ce vers quoi on doit aller. Au final, c'est un peu comme dans la vie civile, l'argent nous fait perdre la tête. L'argent est un pouvoir qui finit par nous rendre moins bon quand il nous brûle les doigts, la prêtrise, c'est la même chose. Avoir ce mot magique, nous parait comme une finalité en soi alors qu'au final, on est encore loin du but.

Et c'est vrai qu'être comme Morgane doit être dur. Donner son aide sans compter et n'avoir en retour qu'insultes et médisances... mais c'est peut-être aussi une "leçon": subir et passer outre sans se décourager et continuer à aider ce qui en ont besoin... et recommencer à aider ce qui nous ont blesser pour grandir un peu plus. On dit souvent que l'Homme est lié à la terre, et par la même, chaque homme est lié à son prochain. Ce rapport devrait nous permettre de grandir dans ce tout et nous permettre de trouver notre juste place. Et encore une fois, à servir les autres.

Ralala, j'ai le cerveau qui chauffe!!!!!!!!

hummm... je me suis rendue compte que je n'avais pas réellement réfléchi à ma spiritualité. Hier soir, j'ai commencé à écrire et voilà:

"10 ans, 10 ans déjà...
Je crois que j’ai vécu des choses qui m’ont permise de reconnaître, au plus profond de moi, que j’étais sur la bonne voie.
Cette voix qui me parle depuis mon enfance, qui me guide a certainement été une de mes plus grandes joies mais, aussi, d’une certaine manière, l’une de mes désillusions qui ont jalonné mon chemin jusqu’à maintenant.

Désillusion parce que, quand je ne l’entendais plus, je me rendais compte que je n’étais pas branchée en direct sur « Goddess Channel » et que, par conséquent, je n’étais pas exceptionnelle. Chose que je désirais à l’adolescence parce que je n’étais pas super bien dans ma peau. J’ai compris par la suite que cette expérience de se retrouver seule avait été bénéfique pour ce que je suis maintenant. Je sais que je ne suis pas exceptionnelle... tout en étant unique, ce qui m’a aussi permis de devoir me confronter seule à mes difficultés et mes peines, à les gérer seule, sans qu’on me donne un coup de pousse qui aurait été inutile voir néfaste puisque je pouvais y arriver seule.
Même si aujourd’hui je comprends, je continue à me sentir abandonnée dans les moments difficiles.

Au cours de ses 10 ans, il y a eu d’autres désillusions mais qui ont été, elle aussi, bénéfiques. La plus importante est, sans conteste, la prise de conscience.
NON, je ne suis pas exceptionnelle !
NON, je ne suis pas au-dessus des autres même si je vois des choses que les autres ne voient pas !
NON, ce que je suis n’est pas un dû mais un don qu’on a bien voulu m’accorder !

Je sais que je suis différente, je crois que je l’ai toujours su. J’ai toujours eu cette impression très forte de « déphasage ». Je ne me sens pas à ma place sur cette terre, pas à ma place dans cette société centrée sur le développement de l’égo, j’ai souvent l’impression d’avoir été catapultée dans la mauvaise époque... Peut-être est-ce ma « crise d’ado » qui n’est pas tout à fait finie ou peut-être est-ce plus profond et qu’il est bon que je me fasse psychanalyser.

Encore une désillusion : je me sens très souvent inutile et ce, depuis l’épisode troublant du tsunami du Japon où j’ai entendu cette voie –encore elle- qui me disait qu’il y avait un tsunami. Je pense souvent que si j’avais réussi à me réveiller, j’aurais pu faire quelque chose. Quoi ? Grande question. Il m’aurait été très difficile d’appeler une ambassade ou un consulat pour dire que leur pays allait subir un raz-de-marée ! Mais ce sentiment d’impuissance me quitte rarement et c’est sans compter les journaux télévisés qui nous montrent en boucle l’état de notre société qui laisse sur le coté une grande partie des indigents.

En ce qui concerne les choix, et bien... je crois que je n’en ai pas vraiment fait. Le paganisme s’est imposé à moi étant enfant. Beaucoup disent ça et j’admets que ça prête à sourire mais je ne me rappelle pas vraiment avoir prié Dieu... La Vierge, oui ! Ca, je m’en souviens parfaitement. C’est lorsque j’ai vu, lu plutôt, qu’une religion priait une divinité féminine que je me suis tournée vers elle. D’abord, ça a été la Wicca : plus visible, plus facile à trouver sur la toile. Mais, plus je lisais ce qu’on en disait, plus je m’en éloignais. Trop stricte, trop codifiée... trop... dogmatique. Par la suite, je me suis tournée, plus ou moins, vers le druidisme et finalement, vers la tradition avalonienne qui est souvent décrite comme totalement New-Age mais qui, en définitive me plait puisque libre de toute attache stricte à une règle. Une chose est sûre : j’ai fait le choix délibérée de me tourner vers les celtes parce que je vis sur leur terre et que je me sens totalement celte. Pourquoi aller chercher une tradition à pétaouchnoc alors que je vis sur des veines de granit qui résonnent encore des incantations druidiques ?"

Ben voilà... je suis pas sûre que ce soit ce qui est demandé mais, spontanément, c'est ce que je voulais écrire pour "répondre" à cette question.

Eh ben quand tu réfléchis, tu réfléchis toi!
C'est très intéressant en fait; tu me donne même des complexes! à ma première année chez Morgane, je n'en étais pas là de mes réflexions. Apparemment l'humilité ne doit pas être mon trait de caractère dominant bien malgré moi. Tu as cette qualité là dans tes écrits.

Ben, je sais pas si c'est de l'humilité...

Bien sûr l'égo n'est jamais très loin; faut être un maître pour être aussi humble. Mais dans tes réflexions ça reste ce qui prédomine... et on voit quand même pas ça chez tout le monde. Et ton article sur la prêtrise sur le sanctuaire de la lune était top aussi

Pour ma part, je suis pas trop dans le cours en ce moment; Steiner c'est complexe et quand je rentre du taf (pourtant assez tôt) il ne me reste que deux neurones et demi donc à part télé et PC je suis pas opérationnelle pour Steiner ou des réflexions intense.

J'ai regardé vite fait Steiner... et ouais, c'est hard!!!
Je me demande si je vais pas envoyer un mémoire à Morgane pour voir ce qu'elle en pense, finalement. Elle pourrait peut-être me dire ce qu'il reste à améliorer et à travailler...

Oui, j'ai fait ça la deuxième année. j'ai envoyé un mémoire, plutôt compte-rendu en expliquant que je savais ne pas être prête mais que je voulais son avis. Dans ce cas là, il faut préciser que c'est pas tout à fait un mémoire, mais c'est possible. Et je comptais refaire ça aussi cette année.

Oki, mais... comme je suis pas ses cours... elle le regardera quand même?
J'ai vu aussi qu'elle parlait d'un forum, il est toujours actif ou elle l'a fermé aussi?

Bien sur qu'elle le lira, le principe d'avoir mis les cours en ligne c'est que "n'importe qui" peut envoyer un mémoire. Il n'y a plus vraiment de liste d'inscrit. Quant au forum, le sien, le forum iniital est fermé, mais des anciens membres ont recréé un forum, mais je n'ai pas l'adresse car ça ne m'intéresse pas vraiment. Il était déjà pas super instructif quand c'était avec Morgane.

Oki. Merci. Ben, je l'enverrai peut-être. Je verrai ça au moment de la dernière lune.

Oui souvent la première lune on se dit "je vais faire çi ou ça" et arrivé à la fin, on change d'avis!

Voilà. Je préfère attendre le "dernier" moment pour prendre une décision.

L'expérience de la balade en forêt...

Et ben, j'ai pas grand chose à dire en fait. Je me suis promenée mais je n'ai pas ressenti grand chose, seulement un vide. Comme si la forêt s'était endormie, elle et ses habitants. Pas de bruits... et pas de vie. Il y avait bien sûr des oiseaux qui chantaient mais rien à voir avec l'été. Là, tout était calme... trop à mon goût mais c'est le but de l'hiver: la nature s'endort pour se réveiller au printemps.

Pour le pendentif, symbole du paganisme: le choix a été fait il y a longtemps maintenant: c'est mon pendentif "oiseau lyre". voilà.

Ces deux exercices sont intéressants, mais plutôt "personnel" comme elle le reprécise bien ils n'ont pas à figurer dans le mémoire. Mais il est vrai que ça permet de se recentrer un peu sur la nature; de sortir de chez soi et de derrière son écran pour aller dans la nature... ce que bcp de paien pour ne pas dire de "grande prêtresse" semble oublier! comme m'a dit une fois Morgane "on fait de petit pas sur internet, de grand pas dans le réel".